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BAE risquerait de en danger son accès privilégié au Pentagone. Ce que le groupe n'entend pas , quitte, d'ailleurs, à le projet de fusion avec EADS, affirme le Financial Times, lundi 24 septembre. L'une des solutions serait de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] la branche américaine à part, avec un conseil de surveillance différent, mais l'application d'une telle mesure serait délicate.
Pour lui, le rapprochement doit se non pas au nom d'une quelconque Europe de la défense, mais pour des raisons purement commerciales : BAE bénéficierait particulièrement d'être associé à Airbus, parce que le marché de l'aviation civile ne suit pas le même cycle économique que celui de la défense.
Un deuxième obstacle est la forte réticence des actionnaires de BAE. [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] Ceux-ci ont été habitués à des dividendes très généreux, beaucoup plus que ceux versés par EADS. Si la plupart ne se sont pas exprimés publiquement pour l'instant, ils craignent que Paris et [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] Berlin ne serrent les cordons de la .
MANNE FINANCI?RE
Le pied de nez aux Européens est confirmé en 2006, quand BAE vend sa participation dans Airbus. L'entreprise d'aviation conna?t alors quelques déboires avec le développement de l'A380, son avion super jumbo.
Ces arguments sont loin de l'unanimité. Plusieurs obstacles sérieux demeurent, à par l'attitude des Etats-Unis. Les Américains ne voient [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] pas d'un bon oeil l'idée de avec une entreprise contr?lée partiellement par Paris et Berlin.
Problème : ce succès est devenu une , alors que Londres, mais surtout Washington – réduction des déficits oblige – sont contraints de réduire leurs dépenses [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de défense dans les années à .
OBSTACLES S?RIEUX
"Nous pensons qu'il est très probable que la fusion soit bloquée, soit par le Pentagone, soit par les actionnaires de BAE", résument les analystes de la banque d'investissement . Et c'est sans les possibles réticences en ou en France. La fusion est loin d'être bouclée.
Liam Fox, [url=http://www.turtle.or.jp/CGI-BIN/aska.pl]ugg pas cher Les banques ingo[/url] l'ancien ministre de la défense aujourd'hui député conservateur, reprend la même analyse. "Est-ce que BAE a les ressources et la capacité de seule ? (...) A mon avis, la réponse pousse à une fusion", a-t-il écrit dans une tribune parue dans le .
L'approche a démarré en 1999. A l'époque, BAE est en pourparlers avec l'allemand DASA (Daimler Aerospace), le fran?ais Aérospatiale-Matra et [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] l'espagnol CASA, pour ce qui deviendra EADS. Mais, au dernier moment, le britannique surprend tout le monde en achetant Systems, [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie pas cher[/url] la branche de défense que GEC a mis en vente. La proie, inespérée, lui ouvre les portes du marché américain de la [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] défense.
"BAE ne peut pas avec sa stratégie actuelle", confie au Monde John Hutton, qui était ministre britannique de la défense de 2008 à [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] 2009. "Ces dernières années, l'entreprise a supprimé des emplois et fermé [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] des usines. Elle a besoin d'un partenaire pour ." M. Hutton souligne notamment qu'EADS a une présence importante en et au , deux marchés où BAE est quasiment absent.
Le britannique profite de cette manne financière pour accélérer son développement aux Etats-Unis. Résultat : BAE est aujourd'hui une entreprise davantage américaine que britannique : celle-ci réalise 43 % de son chiffre d'affaires outre-Atlantique contre 29 % en Grande-Bretagne.
par le fait qu'il a besoin de relais de croissance alors qu'il doit des coupes budgétaires aux Etats-Unis et en Grande-, deux pays qui sont ses principaux clients.
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C'est toute la stratégie mise en place par BAE depuis plus d'une décennie qui est ainsi remise en cause, car le groupe n'a eu de cesse de se [url=http://www.tsubox.sakura.ne.jp/cooking/honey.cgi]giuseppe zanotti pas cher The[/url] détourner de l' pour se [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] sur les Etats-Unis et la confiance du Pentagone.